La guerre du déshonneur

Dans un pays reculé, vivait dans un forêt une jeune fille nommée Maria. Elle vivait chez sa tante Flora. Maria vivait chez sa tante depuis sa plus tendre enfance car ses parents étaient morts dans d’étranges circonstances. Flora avait décidé de la recueillir alors qu’elle vivait seule dans cette grande maison… La maison…hé bien parlons en. C’était une belle maison en pierre qui devait être très ancienne car d’après Flora, elle appartenait à sa famille depuis plus de 15 siècles… Si elle devait être répertorié, elle serait entre la grande maison et le manoir…

- “ A Tableeee ! Mariaaaaaa ! “, * hurla une vois qui devait être douce quand elle n’était pas déformé par la puissance *
- “ J’arrive…“, * dit Maria qui posait ses stylos et un petit carnet qui devait être son journal intime.*

Maria a 16 ans aujourd’hui, ahhhh…. Quel bel âge ! Maria descendit les deux étages d’escaliers qui séparent sa chambre de la cuisine.

- “ ça sent bon ! Qu’est ce qu’on mange Tati ? “, * demanda la belle demoiselle avec un sourire qui mettrait en déroute tout un régiment. *
- “ On mange Jap’ aujourd’hui ma belle, j’y es passé toute la matinée alors j’espère que sa va te plaire ! Tout d’abord, * elle apporta un grand saladier en cristal *, Riz cantonnais ! “
- “ Ohooooo ! J’adore les plats japonais ! “, * s’exclama t elle avec avidité… *

Elles commencèrent à manger dans de magnifique couvert en argent avec un lune rouge incrusté dans un coin, Maria n’a jamais compris pourquoi ces couverts ainsi que ce symbole font partis des bijoux de la famille … Partout dans la maison, il y avait des allusions à cette lune rouge. Des pendules en forme de lune, des tableau avec des guerriers peint sous une lune vermeille, des tapisseries représentant un immense manoir sous une lune de sang avec deux enfants postés devant le portail en fer forgé, des enfants dont les yeux étaient étrangement envoûtants, l’un avait des yeux semblables a des tourbillons et l’autre, a des yeux qui impose une force surnaturel, comme une envie de rêver… Maria aurait aimé se retrouver en face de celui-ci, en face de ses yeux mais cela lui était impossible car le tableau avait 578 ans…
Mange, Mange à ta fin mon enfant car à cette heure ci tu ne sais pas ce qui pourra t’arriver…

Non loin de l’habitation tranquille et du repas copieux préparé par tante Flora, deux jeunes adolescents se baladaient dans la forêt, ils devaient avoir a peu près le même âge que Maria et leurs yeux… Si vous pouviez les voir, vous les voudriez à n’importe quel prix… L’un avait un short vert, un ceinture en métal avec une lune gravé sur celle-ci pour le maintenir, un t-shirt blanc et une veste verte par-dessus, il avait autour du coup une sorte d’amulette. Il avait les cheveux blonds en forme de pic et ses yeux bleus dégageaient une mélancolie sans pareil… De plus près, on pouvait apercevoir que c’est un mélange d’eau et d’électricité qui tourbillonne à l’intérieur de ses orbites…

L’autre était un peu plus grand, un pantalon léger pour faciliter les mouvements, une chemise d’un violet très clair, limite bleu blanc. Ses cheveux laissaient imaginer un immense oursin noir de jet. Une paire de lunette aux verres violets sur le nez faisait ressortir ses yeux d’un bleu ensorcelant…

Tout deux avaient en plus de leurs styles, de leurs yeux, quelque chose en communs… Dans leurs dos étaient tatoués une lune rouge sang également gravé sur le pendentif accroché a une chaîne d’argent, pour l’autre, sur les branches de ses lunettes ainsi que sur la chaînette autour de son poignet…

[Hrp] bon voila il ma pris la soudaine envie d'écrire un livre fantastique, donc critiqué!

Les deux jeunes marchaient sur un petit chemin de pierre qui traversait la forêt et qui, au bout d’une quinzaine de kilomètre, menait à la maison de la petite Maria. La forêt filtrait les rayons de cette pleine lune, ce qui créait un chemin ombragé. Les arbres, malgré la chaleur de ce bel été, étaient d’un vert magnifique, un douceur hors norme régnée dans ce havre de paix. Les deux riaient a gorge déployé, le blond se nommait Lucio et le brun quand à lui s’appelait Hadès.

Soudain, ils se stoppèrent et Hadès s’alluma une cigarette en regardant Lucio et dit : « Tu l’as senti toi aussi ? »

« Oui, enfin nous l’avons trouvé, et en plus il est venu de lui-même vers nous ! »
Quelque chose tournait autour d’eux à une telle vitesse qu’on ne pouvait le suivre, et des grognements sortaient des ombres qu’on apercevait de temps a autre… Puis un éclair vint frapper un rocher, qui s’ensuivit par le son d’une longue glissade qui retentissait dans leur dos.

« Arrête de nous tourner autour, ton odeur est insupportable alors évite de la répandre partout, petit souffifre ! », *dit Lucio calmement en ayant tout autour de lui, de l’électricité qui était en gravitation comme si il l’a maîtrisait…*

Cette bête devait mesurer au moins deux mètres cinquante de haut sur la moitié de large… Des yeux marrons presque noir ne demandant qu’une seule chose… le meurtre. Et ses dents, encrées dans une mâchoire capable de vous arracher une jambe sans le moindre effort, des muscles saillants et un pelage noir… Une mécanique de précision faite exprès pour la chasse… De sa gueule dégoulinait le désir ardent qui l’a poussé a venir embarrasser ses deux jeunes garçons qui se baladaient tranquillement et qui d’après leurs allures, semblaient être sans défense, les proies parfaites ! Dans sa tête le lycan se dessinait les plans d’attaques, puis enfin le gain… cette idée en était trop, elle chargea les deux puis, sauta sur Hadès, un éclair frappa alors le lycan de plein fouet qui malgré la décharge se releva et sauta en direction du cou de celui qui était restait sur le côté, Lucio ne bougeait pas, il ferma même les yeux comme si il acceptait sa mort mais avant que le monstre ait pu planter ses crocs dans de la chair, un coup de point asséné par Hadès dans le corps le renversa, il sentit même 3 ou 4 côte se briser sous le choc.

- « Tu nous as sous estimé ! Tu nous a pris pour de simples humains mais tu viens d’être mis a mal par deux des six chefs de la confrérie de la lune rouge ! Alors retourne de l’autre côté ou tu subiras ma colère et celle de Hadès, peut être même celle des autres chefs de la confrérie… », *Dit Lucio d’une voix calme mais imposante.*
- « Je suis Golgotha ! Fils d’un chef de corps de l’armée de Sariel, alors ce n’est pas deux petits gamins qui vont me faire peur ! » *Grogna t'il sur un ton de défie...*
- « Je me nommes Lucio, et je suis certain que tu as déjà entendu parler de moi ainsi que de mon partenaire Hadès. Alors fuis ! »

Le lycan hésita puis devant les yeux de ses ennemis, Golgotha pris la fuite et disparu dans les profondeurs de la forêt… Hadès et Lucio reprirent leur marche en direction du centre de la forêt. Soudain, alors qu’ils venaient de sauter un rocher, La bête furieuse sauta sur eux car elles les avaient suivis en feintant une fuite… Hadès prononça quelques mots et, en un coup de poing, il envoya en l’air le monstre qui une fois au point culminant de son vol, reçu une décharge par Lucio. La pauvre bête rendit son dernier souffle une fois que son corps heurta le sol rendu dur par le passage des voitures… En voila un qui en recommencera plus. Quel épisode étrange… Un lycan, et deux jeunes aux pouvoirs bien intriguant… pourquoi se dirigent ils vers l’immense maison de tante Flora et pourquoi après cette mort, la lune se teinte t’elle de vermeille…

HrP: désolé si c'est un peu brouillons mais j'ai eu un peu de mal ces dernies temps...

- « Tante Flora, c’était délicieux ! Il faudra que tu m’apprennes ta technique pour cuisiner aussi bien ! »
- « Oui, nous verrons ça demain car il est l’heure d’aller au lit, je suis exténué par ce repas… »

Elles allèrent toutes deux en direction de leurs chambres respectives et comme à son habitude, Maria fermait sa porte a clef afin de pouvoir sortir discrètement par la gouttière qui descendait le long de sa fenêtre jusqu’au sol. En quelques minutes la voici descendu sans le moindre bruit, comme a chaque fois qu’elle s’enfui l’espace de deux petites heures afin d’aller voir le petit coin qu’elle avait aménagé en faveur de ses parents qu’elle n’avait que très peu connue et que les photos et symboles de la famille lui permettait de se perpétuer leurs souvenirs…
Elle était là, dans cette pièce d’une aile délabrée de la maison que Maria rangé les nouveaux vestiges de sa famille qu’elle avait trouvé dans le grenier caché dans une immense malle en cuir tanné avec des une lune couleur sang au beau milieu de cette caisse qui devait prendre facilement la moitié du grenier. Elle se trouvait maintenant sous un grand tableau représentant les deux personnages qu’elle aimait tant, les deux jeunes avec les yeux de rêves… Soudain elle entendit du bruit venant de l’entrée principale, elle se cacha dans une armoire en laissant un petit espace libre afin de voir qui ils étaient, cet entrebâillement laissait voir le tableau et la balustrade qu’il y avait au dessus de celui-ci et bien sur le malle tout en bas.

- « Ahahaha Hadès regardeeeee ! Tu te rappel de ce tableau ? »
- « Et Comment on avait du mettre la pression au peintre pour qu’il ne mettent que 7 jours »
- « Oui c’était marrant ce jour la, nous étions encore inexpérimenté au combat mais nous voulions allez tuer Sariel et ta Grand-mère est venue elle-même nous mettre des coups de canne ! »
- « Ouai… comment veux tu que j’oublie cette vieille chouette !... »

Maria ne comprenait rien au discours des deux qui venait de rentrer et elle ne voyait pas leurs visages car ils étaient de dos. Elle ne comprenait rien a ce qu’il se disait et même en interprétant, elle ce disait : « C’est impossible que ce soit eux sur le tableau, cela voudrait dire qu’ils ont…environ 596 ans… Totalement impossible, même de dos ils ont l’air si jeunes… » Soudain, le blond se retourna, Maria laissa échapper un cri et 10 secondes après, le deuxième garçon ouvrit la porte de l’armoire et la jeta devant la malle…

- « Qui est tu, et pourquoi nous espionnes tu ? »

Lucio et Hadès se retrouvaient en face d’une jeune fille magnifique, et d’ailleurs, Hadès se perdit dans ses yeux d’un marron noisette… Lucio se demanda comment aller se passer cet interrogatoire…

Pendant ce temps dans un lieu sombre et malfamé, un petit groupe de cinq personnes avançait vers une immense demeure… Lorsqu’ils arrivèrent devant l’immense porte en chêne avec des gravures représentants une immense bête poilue, sûrement un personnage mythique nommé lycan ou encore loups garou… Le groupe au fur à mesure qu’il avançait dans ce manoir, sentait le froid devenir de plus en plus oppressant comme si la faucheuse planait sur leur tête risquant a tout moment de glisser et s’abattre sur leur tête et les emmener loin de cette terre, loin de toute cette terreur que leur infligé la personne ou du moins la chose qu’ils allaient voir… Au bout de cinq minutes, ils arrivèrent au plus bas que puisse mener cette demeure, après un ascenseur souterrain et quelques escalier les voici arrivés devant cette porte, la porte de la frayeur… Celui qui paraissait être le chef du groupe s’apprêtait a toquer lorsque la porte s’ouvrit d’elle-même et un grognement en sortis : - « Vous ne les avez pas trouver… alors pour montrer l’exemple, tu vas mourir… » Dit cette voix avec calme et volupté… L’homme courrait a toute vitesse, se transformant même en une bête d’une pelage roux très étonnant mais une fois arrivé au milieu de la court, il se stoppa net, ses yeux était sortis de leurs orbites et avant même qu’un son ne puissent sortir de sa gueule, il se démembra sur place… Alors que personne ne l’avait vu, un lycan se redressa et repris forme humaine, c’était un très belle homme, les cheveux brun mi long avec des yeux vert qui vous donne l’impression d’être passé au rayon X, environ un mètre quatre-vingt, musclés tout de noir vêtu… Tout le monde se mit a genoux a ça vu. Il sourit et dit de cette même voix calme et douce : « Mes ami(e)s… relevé vous, il n’y a que ceux qui désobéissent qui doivent être punis mais vous ne m’avez pas encore déçus alors profitez en… » Avec un petit sourire charmeur il regarda une très belle femme et lui fit signe de le rejoindre dans ses quartiers… Il rajouta a l’égard des quatre restant : « Ne me décevait pas…vous… ». Qu’a bien t’il pu leur demander… Trois personnes se détachèrent des observateurs de la scène et sans que personne ne puissent les voir s’échappèrent du domaine en se dirigeant vers cette lune de couleur vermeil…